Ces observations faites sur une frange très particulière de la population confortent la conclusion selon laquelle la carrière scolaire reflète pour une grande part la mobilisation active des parents, non seulement pour former leur enfant à l’intelligence de l’écolier mais pour optimiser sa prise en charge par l’institution.
J’ai déjà pu noter ça à divers niveaux : les parents qui lâchent tout à l’entrée du collège/lycée, ceux qui ne parlent pas espagnol/anglais et ne peuvent pas répondre aux questions de leurs enfants, les parents qui font le choix de l’école privée parce que le taux de réussite au bac est bien supérieur à celui du publique, ceux qui "forcent" les enfants à faire des options parce que parcours sup, ceux qui connaissent les "rouages" du système et ceux qui laissent leur enfant "à l’abandon".
#Méritocratie en effet…